Le transport médical partagé

Le transport médical partagé
Partager son VSL ou son taxi avec d'autres patients se rendant à des soins réguliers ? C'est maintenant une proposition systématique lorsque l'état de santé le permet.
Pour qui ?
Cela concerne, les personnes :
  1. Dont l'état de santé le permet,
  2. A qui un transports assis (véhicule sanitaire léger – VSL ou taxi conventionné) a été prescrit par un professionnel de santé,
  3. Et se rendant à des soins répétés et programmés, tels que des traitements médicamenteux systémiques du cancer (chimiothérapie, immunothérapie …), des séances de radiothérapie, de toutes séances, traitements ou soins dans le cadre d'une hospitalisation de jour …
Quels avantages ?
  • Bénéficier du tiers payant pour le transport partagé : pas d'avance de frais
  • Diminuer le nombre de véhicules en les mutualisant : diminution de l'impact écologique et des coûts de transport pour le système de santé

A noter : Il est possible de refuser le transport partagé et opter pour un transport individuel. Il faudra alors avancer les frais de transport et se faire rembourser dans un second temps. Les bénéficiaires de la Complémentaire santé solidaire ou de l'aide médicale de l'état (AME) ne sont pas concernés par cette mesure.

En savoir + sur le remboursement des frais de transport.
En pratique
Le transport partagé est proposé de manière systématique au patient, dans des conditions qui garantissent des délais d'attente supplémentaires raisonnables et des détours limités.

SAUF SI : le médecin indique, sur la prescription médicale de transport, que l'état de santé du patient est incompatible avec ce mode de transport (besoin d'une surveillance, d'un apport en oxygène ou de conditions d'hygiène particulières ...).

En savoir + : Le transport médical partagé – ameli.fr
Publié le 10 mai 2025